Travailleur autonome versus salarié : un shitload de différences!

L’une des choses les plus difficiles qu’on apprend en devenant travailleur autonome versus salarié, c’est de se défaire de ses vieux patterns. Been there, done that! Et plusieurs adjointes virtuelles que je coache rencontrent aussi ce défi. Pourquoi? Parce qu’il y a une transition à faire pour sortir du moule. Oser entreprendre, c’est un vrai life changer : tu dois carrément réinventer ton mode de vie si tu veux vivre ta best life.

3 différences entre le fait d’être travailleur autonome versus salarié

Plusieurs personnes essaient de faire un rapprochement entre le statut de travailleur autonome versus salarié. Selon moi, c’est exactement comme vouloir comparer des pommes et des oranges : ça ne se fait juste pas. Il y a un shitload de différences entre les deux situations! Trust me, il y a une foule de trucs que tu as appris en tant qu'employée qui ne te seront plus utiles à partir de maintenant. 

1. Briser le moule de l’employé

Les filles qui veulent devenir adjointes virtuelles après avoir été salariées pendant des années sont enfermées dans le moule de l’employé. Elles n’ont pas le réflexe de se poser des questions du genre :

• « Est-ce que je suis bien dans ce que je fais? »
• « Est-ce que je me sens appréciée? »
• « Est-ce que je développe tout mon potentiel? »

Certaines d’entre elles ont fait les mêmes tâches, de la même façon, pour les mêmes personnes pendant 5, 10, 15 ou 20 ans. Elles étaient prises dans le quotidien sans vraiment réfléchir à une vision à long terme – sauf peut-être se demander où partir en vacances pour sortir de là. 
Je te feel, je suis déjà passée par là moi aussi!

2. Développer sa vision à long terme

Comment veux-tu voir plus loin que le bout de ton nez dans ces conditions-là? Pourtant, c’est le genre de choses que tu vas devoir apprendre pour créer ton emploi d’adjointe virtuelle. Il n’y a que comme ça que tu pourras entreprendre des actions concrètes et bâtir la vie dont tu rêves. Les possibilités en tant que travailleur autonome versus salarié sont infinies. Alors, si je te donne une baguette magique, que veux-tu vraiment?

3. Apprendre à se connaître

Plus tu vas te connaître, plus ce sera facile de te lancer à ton compte. D’ailleurs, je constate une énorme différence entre les adjointes virtuelles qui sortent de l’école et celles qui sont sur le marché du travail depuis plusieurs années. En fait, les filles qui commencent dans l’industrie se connaissent généralement mieux. Pourquoi? Parce que personne ne leur a dit quoi faire, jour après jour. Quand je leur demande : « Qu’est-ce que tu aimes? » ou « Tu te vois où dans cinq ans? », elles ont généralement plus de facilité à répondre.

À l’inverse, celles qui travaillent en entreprise depuis longtemps ont perdu le réflexe de se poser des questions du genre : « Est-ce que j’aime mon travail? » ou « Est-ce que je suis heureuse ici? » Ça n’arrive jamais! Toute leur attention est concentrée sur une tâche XYZ.

Pose-toi les bonnes questions

Ce qu’il y a eu de bien avec la pandémie – même si l’on ne veut plus en entendre parler –, c’est que les gens n’ont pas eu le choix d’arrêter pour se poser les bonnes questions! C’est le genre de choses qui s’est tout de suite ressenti dans l’OPEN CLASS. 

Plusieurs filles se sont dit : « Attends! Maintenant que ça spin moins vite, je me rends compte que ma job me rend malheureuse. Je ne suis pas épanouie. » Résultat? Beaucoup d’adjointes virtuelles ont décidé de démarrer leur business. Et c’est extrêmement bien parce qu’elles se permettent de créer la vie dont elles rêvent vraiment. 
Bref, être travailleur autonome versus salarié, ce n’est pas juste profiter d’un statut ou avoir un chèque de paie steady. C’est un life style complètement différent qui peut t’amener à briser un moule dans lequel tu es malheureuse pour apprendre à mieux te connaître et accéder à des possibilités infinies. Ça te parle?