Pourquoi devenir adjointe virtuelle?

Devenir adjointe virtuelle, ce n’est pas juste :

• Une job alimentaire pour mettre du pain sur la table
• Un titre administratif à inscrire en dessous de ta signature
• Une carrière qui se passe derrière un écran

C’est un mode de vie!

Si tu navigues sur mon site web depuis un boutte, c’est probablement parce que tu fittes pas dans le moule conventionnel du 9 à 5 au travail beige plate. Tu fais partie de la communauté des ALPHAS? Je suis pas mal certaine que c’est parce que tu t’es reconnue dans ce qu’on partage et que l’énergie qui règne te drive sur un moyen temps. 

Mais aujourd’hui, je veux te partager mon histoire. J’ai envie que tu t’allumes comme un sapin de Noël en trouvant ta réponse à la question : « Pourquoi devenir adjointe virtuelle? »

Être salariée, ce n’était juste pas fait pour moi!

Comme la plupart des adjointes virtuelles, j’ai commencé ma carrière comme salariée. Aux yeux de certains boss, j’étais une employée un peu étrange parce que je changeais souvent d’emploi. Quand j’avais fait le tour du jardin, j’allais voir ailleurs en espérant trouver un emploi qui me corresponde mieux. Bref, c’était impensable de m’accrocher les pieds au même endroit bien longtemps.

Pourquoi changer aussi souvent?

• J’étais mal rémunérée.
• Je n’aimais pas mon environnement de travail.
• Je détestais les tâches qu’on me confiait. 

Bref, il y avait toujours quelque chose qui ne marchait pas! 

Mais le pire, c’est que je ne supportais pas de me faire dicter mon horaire, de devoir demander la permission pour prendre des vacances ou encore de me faire reprocher ma façon de parler. 

On me disait tout le temps : « Marie-Ève, je pense que tu as un problème avec l’autorité. Il faudrait que tu changes d’attitude parce qu’ici, ça ne fonctionne pas comme ça! »

Si tu savais le nombre de fois où l’on m’a reproché d’avoir de l’initiative, tu serais flabbergastée!
Pendant longtemps, j’ai cru que c’était moi le problème. Tu sais exactement de quoi je parle, I’m sure! En fait, je n’ai jamais réussi à trouver ma place sur le marché du travail; je l’ai créée de A à Z en me lançant comme adjointe virtuelle – et un peu plus tard quand je suis devenue coach marketing.

Ciao bye les contraintes!

Si tu as envie de te lancer, toi aussi, je vais te dire une chose : le jeu en vaut la chandelle. Ça se peut que les gens autour de toi essaient de te protéger en te disant que l’entrepreneuriat ce n’est pas sécuritaire : pas de congés payés, pas d’assurances, pas de fonds de pension. C’est correct! Mais ce sont leurs propres peurs pis tu n’es pas obligée de prendre ça pour du cash.

C’est vrai, il n’y a pas de sécurité d’emploi quand on devient travailleuse autonome. Mais sérieusement, je ne suis même pas certaine que ça existe pour vrai ce concept-là. Demain matin, ton boss peut se lever du mauvais pied et décider d’abolir ton poste. Pu de job!

Entre toi pis moi, les assurances et le fonds de pension, ce sont des questions qui se règlent assez facilement dès que ta business se met à bien rouler. Tu dois seulement assurer la stabilité financière de ton entreprise pour y arriver. Et surtout – c’est mon meilleur argument ever – tu n’auras pas de plafond salarial. C’est sans compter qu’il n’y a personne pour te dire quoi faire ou comment le faire. You’re the boss!

Bref, la vraie question à te poser, ce n’est pas : « Pourquoi devenir adjointe virtuelle? » C’est : « Comment changer mon mode de vie? » Si tu sens qu’il y a un clash entre toi et les autres ou que tu n’es pas normale, c’est juste que ta place se trouve ailleurs.

Si tu es ici, sache qu’il y a plein d’autres filles qui sont dans la même situation que toi et qui sont passées par l’OPEN CLASS pour vivre leur best life.