Les haters, on s’en fout!

Je ne sais pas pour toi, mais moi je pense que dans la vie, on aime ou on n’aime pas.

C’est vide dit comme ça, hein?

Je m’explique : je pense que les personnes qui nous apprécient nous aiment vraiment, alors que celles qui ne nous aiment pas ne voudront jamais rien savoir no matter what!

C’est pareil en business. Les clients et les collaborateurs qui vont aimer ce que tu fais parleront de toi en bien, te recommanderont à d’autres personnes, vanteront ton travail et t’encourageront à persévérer. Ça, pis plein d’autres synonymes à accorder à la 3e personne du pluriel.

À l’inverse, les gens qui ne croient pas en toi et qui ne t’apprécient pas vont te challenger, essayer de t’atteindre et de te faire douter : ceux-là, je les appelle les haters. Et fie-toi sur moi, on ne les retrouve pas seulement sur les réseaux sociaux!

Pourquoi être la cible des haters?

C’est simple, c’est parce que tu fais du bruit!

Plus tu vas prendre de place, plus tu vas déplaire à certaines personnes, mais plus tu seras appréciée de tes followers.

Je vais te dire un secret : la plupart du temps, tu anticipes des choses qui ne se produiront même pas. Tu redoutes des événements qui n’auront probablement jamais lieu.

As-tu peur de :

  • Déranger sur le Web?
  • Faire du bruit sur les réseaux sociaux?
  • Te faire basher sur Facebook?

OK, mais qu’est-ce qui se produit?

Rien!

Pourquoi? Parce que tu as tellement peur que tu n’agis pas.

Donc logiquement, rien + rien = rien.

Et c’est là que ta création de contenus en mange un coup…

On ne peut pas être aimée par tout le monde!

Tu vas peut-être trouver ça drôle, mais je ne veux pas être aimée par tout le monde. Je veux qu’il y ait des personnes qui ne m’aiment pas. Hello les haters!

Pourquoi? Parce que moi-même je n’aime pas tout le monde. Aussi simple que ça. Pis c’est probablement pareil pour toi. C’est juste impossible d’être aimée par tout le monde. Et c’est ici que l’expression « Qui m’aime me suive » prend tout son sens.

Ben c’est pareil en business.

Est-ce que ça t’arrive encore d’accepter des clients en te disant :

  • « Ce n’est pas un bon fit, mais je vais le prendre quand même, c’est payant comme mandat. »
  • « Je pense que je peux l’aider avec mes services, même si je n’aime pas trop sa vibe. »
  • « Je vais laisser la chance au coureur, on verra bien. »

Hé boy! Le meilleur conseil que je peux te donner si tu acceptes un mandat avec l’un de ces commentaires en tête, c’est run baby run.

100 % du temps c'est de la m****!

Et la dernière chose que tu souhaites, c’est de devoir dealer avec un mauvais fit et ta petite voix qui te nargue en te disant : « Je te l’avais dit! »

N’oublie jamais qu’en business, celui qui a le dernier mot, c’est celui qui détient la solution au problème. Pas celui qui a l’argent pour se l’offrir.

Tu ne serais pas en couple avec quelqu'un que tu n'aimes pas, right? Alors, pourquoi accepterais-tu une relation professionnelle que tu ne feeles pas? Si ça ne clique pas, ce n’est pas un bon client pour toi. Tu as le droit de choisir avec qui tu veux travailler. Trust me, rien ni personne ne t’oblige à signer un contrat si ce n’est pas un bon fit.

Et si tu veux apprendre à dire non plus facilement, je te l’enseigne dans l’OPEN CLASS.

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